Rive Montparnasse • Paris • 9 décembre 2021

Ludovic MALGRAIN 

Ludovic Malgrain est associé au sein du département Contentieux pénal & Enquêtes du bureau de White & Case à Paris.

Il assiste et défend des entreprises et institutions financières françaises et internationales ainsi que leurs dirigeants en matière de droit pénal des affaires, à la fois au titre du conseil en gestion du risque pénal dans l’entreprise, et en contentieux devant les autorités, agences et tribunaux français.

Il représente des clients dans le secteur industriel, technologique, pétrolier et gazier et financier (private equity, bancaire).

Ludovic a une expérience approfondie de la mise en place de programmes de conformité : lutte contre la corruption, le blanchiment d’argent, la fraude (fraude fiscale, cyber-fraude), due diligence dans des opérations de fusions-acquisitions, etc.

PLÉNIÈRE 2 • 17H20 • Durée 1h15

Responsabilité pénale de la personne morale vs la personne physique

Les pièces se mettent en place pour que la justice pénale gagne en efficacité.

Depuis le jugement UBS, les corporates ont intégré qu’ils peuvent avoir intérêt à aller négocier avec les autorités de poursuite une CJIP. Si la loi Sapin 2 limite pour l’instant les CJIP aux délits de corruption, de fraude fiscale, de blanchiment ou à toute autre infraction connexe. Mais quid si, demain, elle est étendue à d’autres infractions économiques ? Plus rien ne fera alors obstacle aux recherches en série de responsabilité d’une personne morale.

L’arrêt de la chambre criminelle du 25 novembre 2020 s’inscrit dans cette même tendance de généralisation des poursuites pénales contre les personnes morales, la chambre criminelle ayant jugé qu’après une opération de fusion-acquisition, la société absorbante pouvait être condamnée pénalement pour des infractions commises auparavant par la société absorbée.

Dans ce cadre, la responsabilité du dirigeant est également de plus en plus mise en jeu. Les tribunaux adoptent une interprétation extensive de l’élément intentionnel de l’infraction en présence d’un dirigeant et des interrogations sur les droits de la défense des personnes physiques impliquées dans un dossier où une personne morale aura fait l’objet d’une CJIP émergent…

• Comment la fonction juridique participe à la sensibilisation de son dirigeant ?

• Comment prévenir le risque dans un environnement pénal mouvant ?

• Quels sont les risques à anticiper et comment les désamorcer ?

LUDOVIC MALGRAIN

LMALGRAIN

White & Case Paris

Associé

Ludovic Malgrain est associé au sein du département Contentieux pénal & Enquêtes du bureau de White & Case à Paris.

Il assiste et défend des entreprises et institutions financières françaises et internationales ainsi que leurs dirigeants en matière de droit pénal des affaires, à la fois au titre du conseil en gestion du risque pénal dans l’entreprise, et en contentieux devant les autorités, agences et tribunaux français.

Il représente des clients dans le secteur industriel, technologique, pétrolier et gazier et financier (private equity, bancaire).

Ludovic a une expérience approfondie de la mise en place de programmes de conformité : lutte contre la corruption, le blanchiment d’argent, la fraude (fraude fiscale, cyber-fraude), due diligence dans des opérations de fusions-acquisitions, etc.

PLÉNIÈRE 2 • 17H20 • Durée 1h15

Responsabilité pénale de la personne morale vs la personne physique

Les pièces se mettent en place pour que la justice pénale gagne en efficacité.

Depuis le jugement UBS, les corporates ont intégré qu’ils peuvent avoir intérêt à aller négocier avec les autorités de poursuite une CJIP. Si la loi Sapin 2 limite pour l’instant les CJIP aux délits de corruption, de fraude fiscale, de blanchiment ou à toute autre infraction connexe. Mais quid si, demain, elle est étendue à d’autres infractions économiques ? Plus rien ne fera alors obstacle aux recherches en série de responsabilité d’une personne morale.

L’arrêt de la chambre criminelle du 25 novembre 2020 s’inscrit dans cette même tendance de généralisation des poursuites pénales contre les personnes morales, la chambre criminelle ayant jugé qu’après une opération de fusion-acquisition, la société absorbante pouvait être condamnée pénalement pour des infractions commises auparavant par la société absorbée.

Dans ce cadre, la responsabilité du dirigeant est également de plus en plus mise en jeu. Les tribunaux adoptent une interprétation extensive de l’élément intentionnel de l’infraction en présence d’un dirigeant et des interrogations sur les droits de la défense des personnes physiques impliquées dans un dossier où une personne morale aura fait l’objet d’une CJIP émergent…

• Comment la fonction juridique participe à la sensibilisation de son dirigeant ?

• Comment prévenir le risque dans un environnement pénal mouvant ?

• Quels sont les risques à anticiper et comment les désamorcer ?